Théorie
sur les dimensions de réalité liée a la conscience et aux corps.
De
l’effet Kirlian au corps étherique,
Du rayonnement lumineux de
l’ADN au corps de lumière…
L’occident
a rejeté nombre de concepts orientaux sous prétexte qu’ils
n’étaient pas vérifiables, mesurables ou quantifiables, et
de ce fait, irrecevable pour le « bon sens », celui du
rationaliste, ce que je nomme « syndrome de St Thomas ». Mais à la
lumière des connaissances actuelles, pouvons-nous cependant trouver
des pistes, des éléments de réponse ? Et ce, même si les
recherches ne sont pas explicitement tournées vers la résolution de
ces questionnements…
Les
cas sur lesquels je me suis penché sont le corps
étherique et
le corps
de lumière.
Pour
ceux qui ne sont pas familiarisé avec ces concepts, en voici donc
des définitions sommes toutes sujettes elles-même à débats :
Le corps éthérique est
un concept d’origine orientale qui s’inscrit dans la croyance
d’un système énergétique subtile pénétrant tout les domaines
de réalité. Dans cette optique nous possédons tous 7 corps : (1.
le corps physique 2. le corps éthérique 3. le corps astral ou
émotionnel 4. le corps mental 5. le corps spirituel ou corps causal
6. le plan bouddhique 7. le plan atmique ou plan divin ) Le corps
éthérique anime le corps physique. Il est le transmetteur au corps
physique des énergies venant de l’astral. Il est aussi appelé
l’aura de santé. Il reproduit la forme du corps physique en le
débordant de quelques centimètres. Avant d’exister dans la
matière toute forme physique doit se constituer sur le plan
éthérique, c’est ce corps qui permet au corps physique de vivre.
Le
corps de lumière :
c’est le corps d’ énergie associé à un être étant dans un
état vibratoire supérieur cependant comparable au corps physique.
Ce phénomène est lié a l’état de conscience. Notons ici la
représentation de halos autour de jésus, bouddha et autres saints.
D’autre récits sur les hyperboréens(antérieur
aux atlantes, Lémurie ou Mu) nous
font état d’être lumineux ayant un corps bien physique (notez
que je ne fait pas ici une allusion directe a la pratique
développant des savoirs faire dans le domaine de l’énergétique
et spirituel transmis par Daben et Orin depuis 1982 ).
NB
: il y a également un rapport avec la merkhaba.
Dans
un premier temps, abordons le corps éthérique et tentons d’y
déceler une existence, ou une corrélation qui nous permettrai
d’éprouver cette théorie.
L’effet
Kirlian et le corps éthérique
Semyon
KIRLIAN (1898-1978)
Russe
d’origine Arménienne, c’est en 1939 que le jeune ingénieur
électricien découvrit un peu par hasard (…en
réparant un appareil d’électrothérapie à hautes
fréquences) l’effet
qui a depuis pris son nom.
La
photographie Kirlian ou “Effet Kirlian” : Il s’agit donc de
photographier tout sujet vivant soumis à un champ électrique haute
tension et haute fréquence. L’effet Kirlian apparait sous la forme
d’un halo entourant l’objet. À l’époque où Kirlian fit sa
découverte, le procédé n’était pas en fait si nouveau que cela,
et Nikola
TESLAobtenait
déjà depuis une bonne dizaine d’années des photographies sous
haute tension comparables aux siennes. Mais Kirlian imposa son nom
dans le domaine car il en posa les bases scientifiques.
Kirlian
constata très vite trois choses essentielles :
L’intensité
et l’amplitude du halo sont proportionnelles à la forme du
sujet :
Il suit parfaitement ses contours (Fig.
1).
Le
halo est lié au “corps physique” du sujet :
même si celui-ci est déformé, coupé, l’efflorescence persiste
dans sa forme originale (Fig.
2).
Beaucoup
plus intéressant, le
halo est révélateur de l’état de santé du sujet :
En effet, si on coupe deux feuilles d’arbres, feuilles
visuellement identiques, mais l’une sur un arbre sain, l’autre
sur un arbre malade, alors on constate sur la photo Kirlian de la
feuille du sujet malade des anomalies du halo très
caractéristiques (Fig.
3).
Certaines
expériences sont allées plus loin. Selon des études sur le rat,
réalisées par les Dr.
MOSS & ARMSTRONG de
l’Université de Rochester (New-York),
la couronne lumineuse obtenue sur la queue de rats cancéreux diffère
substantiellement de celle obtenue sur des rats sains. Cette
découverte a soulevé de nombreux espoirs en milieu médical, où
les chercheurs espèrent pouvoir diagnostiquer des maladies avant
même l’apparition des premiers symptômes.
Dans
le domaine végétal, on peut également prévoir les maladies des
plantes par les couronnes lumineuses détectées par les photos
Kirlian : Le Dr.Moss peut prévoir, avec une précision voisine de
100%, des accidents de germination arrivant ultérieurement à un lot
de grains de blé. Kirlian lui-même a étudié les effets du gel et
de la chaleur sur le blé : “Au
moment critique du gel, l’efflorescence explose littéralement sur
les clichés !”,
a-t-il constaté.
Thèse
scientifique actuelle : il ne s’agirait que de l’effet Corona,
aussi appelé « effet couronne ». C’est une décharge électrique
entraînée par l’ionisation du milieu entourant un conducteur,
elle se produit lorsque le potentiel électrique dépasse une valeur
critique mais que les conditions ne permettent pas la formation d’un
arc. Cet effet est utilisé, entre autre, dans les lampes à plasma.
Mais
en réalité, personne, pas même les scientifiques de plus haut
niveau étudiant le phénomène, n’est capable de dire exactement
ce que les clichés reproduisent. A mon sens, les corrélations entre
les caractéristiques du corps étherique et les données issus de la
photographie Kirlian, tendent a mettre en lumière la réalité de ce
corps (surtout
le point numéro 2).
L’ADN
: émetteur de photon et le corps de lumière
L’ADN
emet de la lumière : Effectivement le phénomène d’émission de
biophotons semble maintenant reconnu et prouvé. Il consiste donc en
une émission “ultra-faible” de photons par tous les organismes
vivants, dans toutes les longueurs d’onde du spectre visible. Cette
émission proviendrait majoritairement de l’ADN et n’est
enregistrable qu’avec des appareils spécifiques. Son mécanisme
d’origine exact ainsi que sa fonction reste par contre inconnus.
Voici
un extraits d’un article de New Scientist Magazine (vol
173 numéro 2331 du 23/02/2002, page 30),
qui relate ‘l’actualité’ (toute relative !) en la matière. Ce
texte un peu long est traduit par Google, j’ai tenté de le rendre
le plus lisible possible. Pour les anglophones : l’article
complet.
MASAKI
KOBAYASHI est
à la recherche de la lumière intérieure en chacun de nous. Un
physicien à l’Institut de Tohoku à Sendai la technologie,
Kobayashi est de ceux d’un petit nombre de chercheurs à travers le
monde qui passent des heures enfermés dans les laboratoires
assombrie dans l’espoir de capter la faible lueur qui vient de tous
les tissus vivants.
Cette lueur
est tellement difficile a saisir que nous ne pouvons le voir avec
l’aide de la plupart des détecteurs très sensibles. Mais nous ne
parlons pas ici d’auras psychique. (…)
les
chercheurs espèrent qu’un jour les différences lumineuses émises
par les cellules saines des cellules cancéreuse donneront un nouvel
outil pour repérer la maladie. D’autres vont plus loin. Ils
pensent que les cellules peuvent coordonner leurs activités par
l’intermédiaire d’échange de photons. Quelques-uns osent même
à penser que ces photons pourraient réellement être une conscience
médiatrice de lui même (…)
En fait, les
retombées de “biophotons” est si faible que les chercheurs
commencent seulement à se mettre d’accord d’où elle vient. (…)
une cellule
saine tend à libérer très peu de photons, peut-être seulement des
dizaines par minute. . Pas facile à recueillir, même dans un
laboratoire tout noir. (…)
Des
dizaines de chercheurs de partout au Japon, y compris Kobayashi, a
trouvé ces émissions provenant de tout, de l’usine de semences de
mouches des fruits. Inaba a
également découvert que les cellules blessés on déclenché plus
de libération des photons que leurs homologues en bonne santé. En
particulier,Adzuki
avec de jeunes plants de soja endommagés en forme de croix émettent
des niveaux élevés de photons sur le site de la lésion.
D’autres
équipes ont repéré une augmentation des niveaux de biophotons où
les cellules sont endommagées. Ken
Muldrew,
un biophysicien à l’Université de Calgary en Alberta, au Canada,
a arraché les feuilles des arbres en dehors près de son appareil de
mesure sensible: “Nous avons obtenu un énorme pic de dizaines de
milliers de photons, un éclat de lumière,” dit Muldrew. “Une
feuille cris lorsque vous déchirer, mais vous voyez le cri au lieu
de l’entendre.”
Il ne s’agit
pas seulement les cellules végétales. À l’Institut de physique à
l’Université de Catane en Italie, des cellules tumorales de
mammifères on éjecté des photons à des taux aussi élevé que
1400 par centimètre carré par minute – les tissus sains ont en
moyenne des taux inférieurs à 40. Dans une étude sur le cancer de
la vessie, l’équipe de Kobayashi a constaté que l’intensité
lumineuse des cellules tumorales est 4 fois plus élevé que les
tissus sains environnants. (…)
Reiner
Vogel,
un biophysicien à l’Université de Fribourg en Allemagne.
“L’émission peut donner une indication très sensible des
conditions dans une cellule et sur le fonctionnement du mécanisme de
défense cellulaire”, a-t-il dit. Philip
Coleridge Smith,
un chirurgien à l’University College Medical School à Londres,
est d’accord. Vous pourriez peut-être utiliser les biophotons afin
d’évaluer l’inflammation dans les tissus, suggère-t-il, ce qui
pourrait mettre en garde contre un ulcère de la jambe, par exemple.
(…)
Tournez-vous
vers la lumière
Pourtant,
certains pensent que les biophotons sont bien plus que les signaux de
détresse. Au début des années 1990, Guenter
Albrecht-Buehler,
un biophysicien à la Northwestern University Medical School de
Chicago, a découvert que certaines cellules permet de détecter et
de répondre à la lumière des autres.
Il a fait brillé de la
lumière infrarouge sur un mélange de cellules de bille de latex et
des cellules fibroblastes de la souris. La plupart des cellules ont
commencé à tendre le bras comme pour « pseudopodia »la lumière
diffusée à leur égard par les billes, et bientôt ces cellules se
dirigeaient directement vers les billes. Certains ont même tourné à
180° pour les atteindre. (Avec peu de puissance et une longueur
d’onde de 850 nanomètres environ, la lumière ne créé
pratiquement pas de chaleur, de sorte que les cellules n’ont pas
simplement progresser sur la voie de la chaleur, fait valoir
Albrecht-Buehler.) Et comme certaines cellules ont atteint les deux
sources lumineuses à intensités égale dans le même temps, il
semble qu’ils puissent “voir” chaque source distincte,
suggère-t-il. (…)
Mais pourquoi
vouloir détecter la lumière des cellules ? La réponse la plus
évidente est que ils parlent les uns aux autres,
dit-Albrecht-Buehler. Les cellules d’embryons pourraient
communiquer avec des photons pour qu’ils sachent où et comment ils
s’insèrent dans les pays en développement dans le corps.
Et maintenant
il veut apprendre leur langue. Il envisage de dire aux cellules ce
qu’ils veulent à faire avec des mots qu’ils comprennent. . Vous
pourriez dire aux cellules cancéreuses à arrêter la croissance des
cellules ou de stimuler la guérison de blessures . “Nous pourrions
apprendre à composer nos propres messages dans la langue de cellules
pour les obliger à effectuer des tâches spécialisées .”
… Dans
les années 1980, Fritz-Albert
Popp,
chargé de cours à l’Université de Marburg en Allemagne, s’est
intéressée au comportement optique des cellules. Dans une série
d’expériences Popp a révélé que les deux cellules séparées
par une barrière opaque provoque un manque de coordination dans les
modes d’échanges et de libération des biophotons. Enlevez la
barrière et les cellules vont bientôt commencer la libération des
photons en synchronie. . Les cellules, Popp a conclu, communiquent
par la lumière.
(…)
Lumière
intérieure
Certains
franc-tireur théoriciens donnent à penser que la notion d’une
langue commune cellulaire avec des biophotons se rapporte non
seulement a la communication biologiques , mais aussi à la
conscience. Scott
Hagan,
un physicien théoricien au British Columbia Institute of Technology
de Burnaby, a réfléchi sur les énigmes de sensibilisation, car il
a partagé un bureau à l’école grad avec un neurophysiologiste.
“Dans tous les autres processus, chaque atome ou molécule agit de
son propre chef», at-il dit. Toutefois, nous ne pouvons pas
expliquer que les cellules du cerveau fonctionne simultanément,
comme faisant partie d’un tout. Il n’existe pas de manière
classique en physique pour expliquer cela, dit-il. “Mais en
physique quantique, il existe des systèmes qui savent qu’ils sont
un ensemble. Ceux-ci sont appelés état quantique cohérent.” Ce
sont des États où la vague de fonctions d’atomes ou de molécules
se mélange pour former une seule unité (New Scientist, 24 Mars
2001, p 42).
Pour
résumé succinctement :
l’ADN
émet plus de photons lorsqu’il est « agressé » ou en état de
stress
l’ADN
pourrait être un signe de l’état de santé dans cette optique
l’ADN
et les cellules communique de manière holistique par la lumière,
elle pourrait être un vecteur d’échange informationnel globale,
une forme de conscience propre au corps.
Apportons
maintenant la théorie de J.Narby (dont
je vous conseil la lecture de son excellent ouvrage : « le serpent
cosmique ») :
l’anthropologue Jeremy
Narby de
l’université de Stanford, portent également notre attention sur
la capacité de l’ADN à émettre des photons. La longueur d’onde
à laquelle l’ADN émet ces photons correspond exactement à la
bande étroite de la lumière visible, de l’infrarouge (900
nano-mètres) à
l’ultraviolet (200
nano-mètres).
Cette émission a pour particularité d’exhiber un degré
étonnement élevé de cohérence, comparable à celle d’un laser.
La cohérence dépend de la régularité du débit des photons, et
non de son intensité. Une source de lumière cohérente, comme un
laser, donne une sensation de couleurs vives, une luminescence ainsi
qu’un sentiment de profondeur holographique. J. Narby fait le lien
entre ces caractéristiques et les sensations éprouvées lors
d’expériences hallucinogènes. Pour lui, les photons émis par
l’ADN sont tout simplement perçus par les chamans, aidés en cela
par des mixtures hallucinogènes. Il bute néanmoins sur un obstacle
de taille, celui qui consiste à faire le lien entre ces visions et
la conscience, les connaissances acquises par les expériences des
chamans.
Cependant
nous avons vu que l’idée d’échange informationnel holistique
s’apparente, pour certains, a l’idée d’une « conscience
lumineuse ».
Rappelons
que l’ADN, ce code génétique, est commun à toute vie sur terre,
en cela le serpent cosmique (le
caducée des médecins, remémorez-vous l’épopée de Gilgamesh),
devient une seul entité (conscience
a un autre « niveau d’intégration ») à
travers son réseau de communication universel par voie lumineuse…
Et
pour finir je vous retranscrit un passage de l’excellent livre «
la pierre philosophale : chaos et ordre caché de l’univers »
de F.
David Peat :
La
lumière et la vie
Les formes
naturelles exercent une influence subtile et à grande distance.
Quand on passe de la structure en réseau d’un cristal ou du ballet
des électrons d’un supraconducteur aux oscillations cohérentes du
cerveau humain, la distinction entre l’ inanimé et l’ anime
commence a s’ estomper. L’hypothèse selon laquelle la lumière
elle-même jouerait un rôle clef dans les systèmes vivants s’avère
particulièrement captivante.
La
lumière a occupé une place de premier plan dans les récits
mythiques de la création du monde. Selon la tradition
judéo-chrétienne, la lumière fut produite par l’acte de création
primordial, et en ce sens, toute chose provient d’elle. La lumière
emplit l’univers entier, et il n’est aucune région de l’univers,
aussi reculée soit-elle, qui ne soit sillonnée par un treillage
complexe de rayonnement électromagnétique. Le bruit de fond que l’
on peut capter avec une antenne parabolique a micro- ondes serait en
fait le rayonnement existant au moment de la création de l’univers,
du Big-bang. Ce rayonnement qui saturait alors l’univers en
formation est omniprésent; l’espace ayant connu une expansion de
plusieurs milliards d’années, cette radiation originelle s’est
déployée en ondes de plus en plus longues jusqu’à produire ce
bruissement capte aujourd’hui par les antennes paraboliques’.
La
plus infime région de 1′espace est baignée par un rayonnement
électromagnétique s’étendant des plus basses fréquences «
résidus du Big-bang » jusqu’aux rayons gamma de très grande
énergie, en passant par les ondes radio, la lumière visible et les
ondes ultraviolettes. Ce rayonnement provient des étoiles, des
supernovæ, des quasars, des champs magnétiques tourbillonnants qui
s’étendent a travers les immensités de l’espace vide, et
correspond a 1′« horizon d’évènement » des trous noirs. Toute
cette lumière véhicule en outre une information sur son origine:
réaction nucléaire dans le cœur d’une étoile ou effondrement de
la matière en un trou noir. Chaque portion de l’espace est
frémissante de rayonnement électromagnétique, et donc saturée
d’une invraisemblable quantité de données sur l’univers entier.
La
lumière constitue un moyen extrêmement efficace d’encodage et de
transmission de l’information. Songeons au nombre astronomique
d’appels téléphoniques, de programmes de télévision et de
canaux de télécommunications qu’un seul rayon de lumière peut
transmettre le long d’un faisceau de fibres optiques. Cette lumière
atteint les limites de l’univers, de sorte que la plus infime
région de celui-ci contient une quantité d’information qui excède
de beaucoup la capacité de mémoire de l’ensemble des plus
puissants ordinateurs existants. De fait, chaque fois que l’ on
contemple le ciel nocturne, une partie de cette information pénètre
dans l’œil et s’imprime dans le cerveau pour produire une image
de l’univers des étoiles et des galaxies.
La lumière
est information et communication. Mais l’idée nouvelle, très
controversée, que la lumière puisse jouer un rôle-clef dans tout
système biologique apparait plus remarquable encore. Fritz-Albert
Popp explore activement ce domaine a l’Institut de recherches de
biophysique cellulaire de Kaiserslautern en Allemagne, en liaison
avec le Centre d’ études avancées de l’université Temple de
Philadelphie. Quoique ces idées ne fassent pas l’unanimité des
physiciens, leurs implications n’en restent pas moins troublantes.
Depuis
plusieurs décennies, on suppute que des champs électromagnétiques
sont associes aux systèmes vivants. Mais il reste extrêmement
difficile de mener a bien les recherches dans ce domaine, puisque
pour une expérience réussie et convenablement documentée, bien
d’autres ne peuvent être reproduites. Un certain nombre de
chercheurs se sont néanmoins penches sur cet hypothétique
rayonnement biologique et ont suggère que la molécule d’ADN
émettait des photons, particules quantiques de la lumière.
L’ADN
est la molécule-clef du noyau cellulaire, et il apparait maintenant
que cette molécule pourrait effectivement émettre un rayonnement de
très faible intensité quelques photons a la fois. Les chercheurs
qui ont étudie la nature de ce rayonnement l’estiment
cohérent”comme la lumière du laser, mais incomparablement plus
faible.. Une molécule biologique, 1′ADN, semble donc agir comme un
laser et produire des oscillations collectives dans un champ
électromagnétique.
Si
cette découverte se trouvait confirmée, on devrait alors se
demander pourquoi il en est ainsi. La nature ne fait généralement
rien sans raison. Pourquoi la molécule essentielle de la vie
émettrait-elle une forme de lumière laser très faible ? Dans quel
but ?
La nécessité
de communiquer vient immédiatement l’ esprit. C’est la, il est
vrai, une simple conjecture, mais des chercheurs comme Popp lui
attachent beaucoup d’importance. Supposons que I’ADN se serve
d’un rayonnement électromagnétique, d’une lumière cohérente,
pour communiquer a l’intérieur de la cellule. La lumière possède
la faculté de traverser la cellule et convient parfaitement a la
transmission de l’ information. Se pourrait-il que la cellule
utilise un système de communication a deux niveaux”le plus lent
via les processus moléculaires ordinaires qui se déroulent autour
de la molécule d’ADN, et un autre, incomparablement plus rapide, a
travers l’ensemble de la cellule, via la lumière cohérente ?
Les
scientifiques étudient également le rayonnement cohérent émis par
la cellule. L’idée est que l’organisme entier baignerait dans un
champ électromagnétique oscillant, « vivant ». il pourrait se
faire, par exemple, que la lumière cohérente soit utilisée comme
moyen de communication dans l’ensemble de la plante ou de l’animal
entre 1′ADN et la cellule, entre les cellules et entre les organes.
L’organisme entier pourrait ainsi consister en un flot complexe
d’information dans lequel chaque cellule et chaque organe
réagissent a un flux de messages électromagnétiques ininterrompu.
L’organisme
vivant serait un système de communications complexe ou la lumière
cohérente lierait toutes les activités métaboliques et de
transformation. La cohérence même de la lumière agirait alors pour
préserver une cohérence d’un ordre supérieur : celle d’un
organisme vivant en perpétuel changement. En ce sens, la lumière
représente une information active, globale et efficace, qui se
répand a travers toute la cellule – en réalité, à travers
l’organisme entier et coordonne ses actions.
Peut-être
même les animaux communiqueraient-ils entre eux grâce a un
rayonnement électromagnétique, comme le font les cellules du corps.
On peut aussi se demander si l’information, sous forme d’une
danse cohérente de champs lumineux, ne serait pas l’essence de
toute vie et le moyen utilise par les systèmes vivants complexes
pour se coordonner.
A ce stade de
notre expose, certains lecteurs seront peut-être déroutés, car l’
idée d’ un flux complexe de rayonnement électromagnétique qui
gouvernerait les activités d’un organisme commence a avoir des
relents de « force vitale ». L’idée d’un tel champ
d’information rappelle l’élan vital, l’aura d’énergie qui
entoure l’organisme et indique son état de santé. C’est bien en
effet ce qu’affirment quelques chercheurs”le rayonnement émis
par des cellules saines est. d’après eux, tout a fait différent
de celui des cellules malades ou en train de mourir.
La santé
consisterait-elle en un flux d’ information actif à l’intérieur
du corps, et la maladie en une rupture de ce flux, un appauvrissement
de l’ information ? Le flux sans cesse changeant d’ information
véhiculée par les champs électromagnétiques et l’entremêlement
complexe d’une grande variété de réactions chimiques sont
vraisemblablement si subtils que leur complexité même risque fort
d’apparaitre chaotique a un observateur extérieur. Lorsque la
maladie survient, la cohérence générale de ces champs
d’information commence a se déliter au point que seuls les
processus individuels subsistent. Ceci expliquerait pourquoi des
chercheurs ont découvert que ce qui peut apparaitre, dans le cœur
ou le cerveau, comme un comportement désordonné est signe de santé,
tandis que, par exemple, un battement cardiaque régulier et simple
laisse présager une crise cardiaque.
Un
océan d’informations
L’ idée
que des champs extrêmement complexes d’information coopérative
entretiennent les systèmes vivants pourrait non seulement
s’appliquer aux organismes vivants, mais aussi aux écosystèmes,
aux sociétés, voire a la planète tout entière. La vie ne cesse de
se transformer et d’explorer de nouvelles voies, tandis que les
oscillations simples caractérisent plutôt les machines et la
matière morte. La stabilité dans sa forme la plus simple est en
elle-même synonyme de mort, alors que la vitalité tient a la
capacité de supporter un ensemble complexe et subtil de fluctuations
globales. Un canevas toujours fluctuant, changeant, de significations
devient la vie elle-même, et la frontière entre anime et inanimé
commence a s’estomper.
Le domaine de
la bioinformation électromagnétique est dans l’ensemble sujet a
controverse, mais il suscite des recherches intéressantes et soulève
des questions importantes. Un organisme peut-il, par exemple,
collecter et intégrer une information électromagnétique sur son
milieu ? Si tel est le cas, il convient alors d’ajouter un sens
électromagnétique a la vue, a l’ouïe, au toucher, au gout et a
l’odorat. Il y a déjà tout lieu de croire que beaucoup d’animaux
utilisent des détecteurs électromagnétiques pour se diriger.
La surface de
la Terre est animée par de multiples signaux électromagnétiques.
Hormis le champ magnétique terrestre, le rayonnement solaire baigne
la planète et sa haute atmosphère. Le champ électromagnétique de
la Terre entière vibre par ailleurs a une fréquence de sept a huit
oscillations par seconde. Les effets des ondes de l’ionosphère et
de la magnétosphère sont également perceptibles a la surface du
globe. En réalité, la Terre entière se présente comme un océan
complexe de rayonnement dont l’intensité et la forme varient très
légèrement d’un endroit a l’autre, du fait que l’information
encodée en un lieu donné dépend de la composition chimique des
roches avoisinantes, des minéraux, des eaux souterraines et de
surface. La forme de ce rayonnement subit en outre les variations
climatiques quotidiennes.
Sur chaque
parcelle de la surface terrestre se trouve donc encodé un stock
important d’informations électromagnétiques, non seulement sur
l’état de la planète tout entière, mais aussi les particularités
de la zone concernée . Ainsi , lorsqu’un oiseau fend les airs,
qu’un animal se déplace a la surface de la Terre ou qu’un
poisson évolue dans l’océan, il se pourrait qu’i1 collecte et
réagisse a une masse d’informations incomparablement plus complexe
que celle contenue dans un signal radar ou une émission de radio.
Peut-être capte-t-il aussi les signaux et modulations
électromagnétiques a peine perceptibles émis par sa proie ou l’un
des siens. Il est fort possible qu’une partie de cet énorme stock
de données soit décodée par l’ animal, afin de recevoir sans
interruption l’information directe relative a son milieu.
Mais
l’information électromagnétique ne représente qu’une des
possibilités. Le son véhicule aussi sa propre masse d’informations.
Cette mer sonore permet aux petits mammifères d’obtenir une image
détaillée de toutes les formes fugitives de vie et de mouvement qui
se manifestent dans leur environnement immédiat. L’animal réagit
non seulement a ce qu’il « entend » avec ses oreilles, mais
peut-être aussi aux vibrations a haute et basse fréquence perçues
au niveau cellulaire, qui font osciller l’organisme entier par
résonance. L’animal est conscient de ce que les sons qu’il émet
lui reviennent après avoir été transformes par le milieu. Il
déchiffre sans relâche la symphonie complexe de chants d’oiseaux,
de bruits produits par les insectes et de cris des autres animaux.
Pour les baleines et les dauphins, cette matrice d’information a
caractère vibratoire s’étend a travers l’ océan sur plusieurs
centaines de kilomètres. A cela vient s’ajouter un flot d’odeurs,
qui procure au chien, par exemple, une représentation nette du monde
extérieur. Chaque être vivant se trouve immerge dans un océan d’
information à plusieurs niveaux, d’une grande richesse et
subtilité.
L’ADN
: Molécule attentive
Si l’ADN se
charge d’envoyer des photons cohérents dans la cellule, peut-être
est-il aussi possible que ce rayonnement soit modifie et renvoyé par
l’environnement, ou cette même molécule le détecte. Se peut-il
que l’ADN soit « a l’écoute » de son milieu ?
La
molécule d’ADN forme un important réservoir d’ information ;
l’histoire des ancêtres de la cellule et de son évolution s’y
trouve consignée. Cette information s’exprime par la gestion de la
synthèse, dans l’ordre requis, des diverses protéines qui, selon
leur nature, participent au développement, au métabolisme ordinaire
ou a l’ entretien de l’organisme. C’est pourquoi on dépeint
souvent 1′ADN comme un chef d’orchestre, le principe agissant au
sommet de la hiérarchie.
Mais
cette vision d’ un flux d’ instructions a sens unique soulève
des difficultés. Comment précisément l’information correcte
est-elle sélectionnée au bon moment ? Si la cellule fabrique telle
protéine trop tard ou trop tôt, elle perturbera l’ensemble de son
métabolisme. Il apparait en outre qu’un très faible pourcentage
de l’information emmagasinée dans l’ADN est utilise. A quoi sert
le reste, ces régions silencieuses de l’ADN ? Contiennent-elles
simplement l’information obsolète et des messages de formes issus
d’un lointain passe évolutif de la cellule ? Ou bien
posséderaient-elles une fonction potentielle utile ?
Supposons que
l’ADN puisse effectivement être a l’écoute du monde qui
l’entoure et y réagir. Supposons également que la cellule soit
gouvernée sur un mode démocratique et que l’ADN fasse plutôt
figure de guide vénérable et vénéré que de dictateur. L’ADN
serait comme une bibliothèque géante pleine de traités sur le
métabolisme et la synthèse des protéines. Et, comme pour le choix
d’un ouvrage, la sélection de l’information dépendrait d’un
contexte plus large: la cellule entière, l’organisme dont elle
fait partie, voire le milieu extérieur.
La danse
électromagnétique au sein de la cellule véhicule les données sur
les conditions toujours changeantes qui règnent dans le monde
extérieur et pourrait jouer un rôle dans le choix de l’information
fournie par l’ADN. Le code génétique participerait ainsi d’un
langage beaucoup plus général, celui tenu par l’ organisme entier
et même par l’ environnement lointain. La molécule d’ADN
elle-même recevrait constamment des informations sur son milieu et
pourrait, de son côte, faire appel a une partie de son «
information cachée ». Il est même concevable que la cellule
entière agisse avec intelligence et modifie son ADN. En d’autres
termes, une mutation de l’organisme constituerait la réaction
concertée a un changement d’ensemble du milieu ou vit la cellule,
et non un événement purement aléatoire et sans but. L’évolution
prendrait alors la forme d’un processus participatif, le résultat
d’un constant dialogue entre les êtres vivants et l’ensemble de
leur milieu.
L’idée que
la vie consisterait en un savant ballet de significations et d’
informations nous entraine a d’ autres conjectures. L’une,
absurde de prime abord et pourtant sérieusement envisagée, est que
la nourriture contiendrait non seulement des éléments nutritifs,
mais aussi de l’ information ! Quand un prédateur se jette sur sa
proie, affirme cette théorie, il ne cherche pas uniquement a se
procurer des protéines, mais aussi a se renseigner; en la mangeant,
il ingère un ensemble complexe de données . L’ information se
transmettrait ainsi entre espèces.
Bien que
cette idée paraisse assez étrange, elle est proche de celle a
laquelle adhérent les peuples indigènes: ils estiment que les
aliments nourrissent la personne entière, et pas seulement le corps.
Pour les populations de chasseurs d’Amérique du Nord, manger du
caribou et du bison constitue une « bonne médecine », et chacun se
plaît a manger de la viande, car son effet bénéfique ne se borne
pas a fournir au corps son énergie. Selon cette conception, les
aliments nourrissent l’individu sur plusieurs plans, de sorte que
certains, par ailleurs sources abondantes de protéines, passent pour
de « mauvaises médecines ». De même, les chamans chinois se
servent d’os de mouton ou de chèvre comme moyen de divination.
L’animal ne consomme que de l’herbe et de l’eau pures,
affirment-ils, et l’« universel » imprègne donc l’os au point
que celui-ci est a même d’entendre et de voir.
Se
pourrait-il que 1′« universel » de la tradition chinoise fût une
information active et eut une signification globale ? La trame de la
vie, la danse du prédateur et de sa proie, serait-elle
l’orchestration générale d’une information en perpétuel
changement ? Et l’évolution ne constituerait-elle pas le.
mouvement de cette symphonie de la signification ? De fait, si l’on
voit dans l’organisme la manifestation d’une cohérence et d’une
information, l’histoire et l’organisation de la vie sur Terre
doivent être envisagées de même. Les synchronicités deviennent
alors un simple aspect de ce grandiose ballet de structures chargées
de signification.
En attribuant
a l’information un rôle-clef, on voit la division entre le vivant
et l’inanimé s’évanouir. On prend conscience du fait qu’on ne
peut en aucun cas réduire entièrement un système cohérent a des
constituants en interaction, car ceux-ci participent a une danse
collective qui représente l’essence véritable de ce niveau d’être
particulier.
Retour
sur le concept de corps de lumière.
A
la lumière (
) de ces révélations, je pense que nous avons des éléments de
réflexion nous permettant d’avancer sur ce point.
Il
semble donc établi que la lumière émise par l’ADN est vecteur
d’information, une forme vibratoire issu de la matière vivante.
L’ADN communique avec son environnement par cette lumière et
interagit par l’échange d’information. Tout le vivant est
lui-même baigné dans un flot permanent de rayonnement
électromagnétique.
La
conscience individuel des entités vivantes sur terre (à
défaut d’autres exemples),
réagit et interagit par ce biais. Notons la « pulsation »
électromagnétique de la terre (voir résonance
Schumann) et
la fréquence des ondes alpha du cerveau présentes dans le rêve et
dans la méditation légère quand les yeux sont fermés. Les ondes
alpha pulsent à travers tout le cortex cérébral.
D’autre
part, la notion de synchronisme établi par Jung,
un état psychologique et un événement physique liés, non pas par
la cause mais par le sens (ce que nous nommons communément un «
signe » ou plus vulgairement le « hasard »), supplante la barrière
de causalité rationnelle établie. Ce qui nous montre la réalité
d’une communication a un « niveau supérieur d’intégration
» (voir
également les travaux de Ruppert
Sheldrake).
Rappelons-nous
que les « sages » sont représenté par ce halos lumineux les
entourant, ne dit on pas que ce sont des « éclairés » ? Notons
alors que les traditions nous enseigne qu’il nous faut développer
notre « 3ème œil » pour visualisé (et non pas voir), ces
réalités (auras).
Note
: Le 3ème œil est un des 7 chakras – ces centres énergétiques –
que notre corps subtile possède. L’occident a fini par constaté
une certaine validité de ces théories, par relation de fait avec
les glandes du corps ( ici la glande pituitaire ou hypophyse ).
Pouvons-nous
en déduire qu’une conscience éclairée, ayant fait l’expérience
de l’Agapès, ayant « vécu », dans l’extase mystique, la
réalité de l’interdépendance des phénomènes, puissent alors
fondre sa conscience individuel en une réalité supérieure, celle
de la lumière ? (Ne
dit-on pas « Dieu est lumière » ?)
Ce
corps lumineux serait alors l’expression physique d’une élévation
spirituelle telle que la conscience unicitaire de l’être se
révèlerai dans toute les cellules de son corps…
Remarques
et Synthèse
Il
se trouve que ces deux phénomènes (la
biophotonique et l’effet Kirlian) ne
sont pour ainsi dire jamais mis en relation, pourtant il s’agit
dans les deux cas de rayonnements électromagnétique émis par les
etres vivants. Leurs taux vibratoires ne se situant pas dans les
mêmes gammes, nous pouvons en distinguer deux types ou, deux
corps. Ces
réalités sont donc ici unifiées…