mardi 18 mars 2014

Article : l'effet Kirlian et le rayonnement lumineux de l'ADN


Théorie sur les dimensions de réalité liée a la conscience et aux corps.

De l’effet Kirlian au corps étherique,
Du rayonnement lumineux de l’ADN au corps de lumière…


L’occident a rejeté nombre de concepts orientaux sous prétexte qu’ils n’étaient pas vérifiables, mesurables ou  quantifiables, et de ce fait, irrecevable pour le « bon sens », celui du rationaliste, ce que je nomme « syndrome de St Thomas ». Mais à la lumière des connaissances actuelles, pouvons-nous cependant trouver des pistes, des éléments de réponse ? Et ce, même si les recherches ne sont pas explicitement tournées vers la résolution de ces questionnements…

Les cas sur lesquels je me suis penché sont le corps étherique et le corps de lumière.

Pour ceux qui ne sont pas familiarisé avec ces concepts, en voici donc des définitions sommes toutes sujettes elles-même à débats :
  • Le corps éthérique est un concept d’origine orientale qui s’inscrit dans la croyance d’un système énergétique subtile pénétrant tout les domaines de réalité. Dans cette optique nous possédons tous 7 corps : (1. le corps physique 2. le corps éthérique 3. le corps astral ou émotionnel 4. le corps mental 5. le corps spirituel ou corps causal 6. le plan bouddhique 7. le plan atmique ou plan divin ) Le corps éthérique anime le corps physique. Il est le transmetteur au corps physique des énergies venant de l’astral. Il est aussi appelé l’aura de santé. Il reproduit la forme du corps physique en le débordant de quelques centimètres. Avant d’exister dans la matière toute forme physique doit se constituer sur le plan éthérique, c’est ce corps qui permet au corps physique de vivre.
  • Le corps de lumière : c’est le corps d’ énergie associé à un être étant dans un état vibratoire supérieur cependant comparable au corps physique. Ce phénomène est lié a l’état de conscience. Notons ici la représentation de halos autour de jésus, bouddha et autres saints. D’autre récits sur les hyperboréens(antérieur aux atlantes, Lémurie ou Mu) nous font état d’être lumineux ayant un corps bien physique (notez que je ne fait pas ici une allusion directe a la pratique développant des savoirs faire dans le domaine de l’énergétique et spirituel transmis par Daben et Orin depuis 1982 ).
    NB : il y a également un rapport avec la merkhaba.
Dans un premier temps, abordons le corps éthérique et tentons d’y déceler une existence, ou une corrélation qui nous permettrai d’éprouver cette théorie.

L’effet Kirlian et le corps éthérique


Semyon KIRLIAN (1898-1978)

Russe d’origine Arménienne, c’est en 1939 que le jeune ingénieur électricien découvrit un peu par hasard (…en réparant un appareil d’électrothérapie à hautes fréquences) l’effet qui a depuis pris son nom.

La photographie Kirlian ou “Effet Kirlian” : Il s’agit donc de photographier tout sujet vivant soumis à un champ électrique haute tension et haute fréquence. L’effet Kirlian apparait sous la forme d’un halo entourant l’objet. À l’époque où Kirlian fit sa découverte, le procédé n’était pas en fait si nouveau que cela, et Nikola TESLAobtenait déjà depuis une bonne dizaine d’années des photographies sous haute tension comparables aux siennes. Mais Kirlian imposa son nom dans le domaine car il en posa les bases scientifiques.

Kirlian constata très vite trois choses essentielles :
  1. L’intensité et l’amplitude du halo sont proportionnelles à la forme du sujet : Il suit parfaitement ses contours (Fig. 1).
  2. Le halo est lié au “corps physique” du sujet : même si celui-ci est déformé, coupé, l’efflorescence persiste dans sa forme originale (Fig. 2).
  3. Beaucoup plus intéressant, le halo est révélateur de l’état de santé du sujet : En effet, si on coupe deux feuilles d’arbres, feuilles visuellement identiques, mais l’une sur un arbre sain, l’autre sur un arbre malade, alors on constate sur la photo Kirlian de la feuille du sujet malade des anomalies du halo très caractéristiques (Fig. 3).
Certaines expériences sont allées plus loin. Selon des études sur le rat, réalisées par les Dr. MOSS & ARMSTRONG de l’Université de Rochester (New-York), la couronne lumineuse obtenue sur la queue de rats cancéreux diffère substantiellement de celle obtenue sur des rats sains. Cette découverte a soulevé de nombreux espoirs en milieu médical, où les chercheurs espèrent pouvoir diagnostiquer des maladies avant même l’apparition des premiers symptômes.

Dans le domaine végétal, on peut également prévoir les maladies des plantes par les couronnes lumineuses détectées par les photos Kirlian : Le Dr.Moss peut prévoir, avec une précision voisine de 100%, des accidents de germination arrivant ultérieurement à un lot de grains de blé. Kirlian lui-même a étudié les effets du gel et de la chaleur sur le blé : “Au moment critique du gel, l’efflorescence explose littéralement sur les clichés !”, a-t-il constaté.

Thèse scientifique actuelle : il ne s’agirait que de l’effet Corona, aussi appelé « effet couronne ». C’est une décharge électrique entraînée par l’ionisation du milieu entourant un conducteur, elle se produit lorsque le potentiel électrique dépasse une valeur critique mais que les conditions ne permettent pas la formation d’un arc. Cet effet est utilisé, entre autre, dans les lampes à plasma.

Mais en réalité, personne, pas même les scientifiques de plus haut niveau étudiant le phénomène, n’est capable de dire exactement ce que les clichés reproduisent. A mon sens, les corrélations entre les caractéristiques du corps étherique et les données issus de la photographie Kirlian, tendent a mettre en lumière la réalité de ce corps (surtout le point numéro 2).

L’ADN : émetteur de photon et le corps de lumière


L’ADN emet de la lumière : Effectivement le phénomène d’émission de biophotons semble maintenant reconnu et prouvé. Il consiste donc en une émission “ultra-faible” de photons par tous les organismes vivants, dans toutes les longueurs d’onde du spectre visible. Cette émission proviendrait majoritairement de l’ADN et n’est enregistrable qu’avec des appareils spécifiques. Son mécanisme d’origine exact ainsi que sa fonction reste par contre inconnus.

Voici un extraits d’un article de New Scientist Magazine (vol 173 numéro 2331 du 23/02/2002, page 30), qui relate ‘l’actualité’ (toute relative !) en la matière. Ce texte un peu long est traduit par Google, j’ai tenté de le rendre le plus lisible possible. Pour les anglophones : l’article complet.

MASAKI KOBAYASHI est à la recherche de la lumière intérieure en chacun de nous. Un physicien à l’Institut de Tohoku à Sendai la technologie, Kobayashi est de ceux d’un petit nombre de chercheurs à travers le monde qui passent des heures enfermés dans les laboratoires assombrie dans l’espoir de capter la faible lueur qui vient de tous les tissus vivants.

Cette lueur est tellement difficile a saisir que nous ne pouvons le voir avec l’aide de la plupart des détecteurs très sensibles. Mais nous ne parlons pas ici d’auras psychique. (…)

les chercheurs espèrent qu’un jour les différences lumineuses émises par les cellules saines des cellules cancéreuse donneront un nouvel outil pour repérer la maladie. D’autres vont plus loin. Ils pensent que les cellules peuvent coordonner leurs activités par l’intermédiaire d’échange de photons. Quelques-uns osent même à penser que ces photons pourraient réellement être une conscience médiatrice de lui même (…)

En fait, les retombées de “biophotons” est si faible que les chercheurs commencent seulement à se mettre d’accord d’où elle vient. (…)

une cellule saine tend à libérer très peu de photons, peut-être seulement des dizaines par minute. . Pas facile à recueillir, même dans un laboratoire tout noir. (…)

Des dizaines de chercheurs de partout au Japon, y compris Kobayashi, a trouvé ces émissions provenant de tout, de l’usine de semences de mouches des fruits. Inaba a également découvert que les cellules blessés on déclenché plus de libération des photons que leurs homologues en bonne santé. En particulier,Adzuki avec de jeunes plants de soja endommagés en forme de croix émettent des niveaux élevés de photons sur le site de la lésion.

D’autres équipes ont repéré une augmentation des niveaux de biophotons où les cellules sont endommagées. Ken Muldrew, un biophysicien à l’Université de Calgary en Alberta, au Canada, a arraché les feuilles des arbres en dehors près de son appareil de mesure sensible: “Nous avons obtenu un énorme pic de dizaines de milliers de photons, un éclat de lumière,” dit Muldrew. “Une feuille cris lorsque vous déchirer, mais vous voyez le cri au lieu de l’entendre.”

Il ne s’agit pas seulement les cellules végétales. À l’Institut de physique à l’Université de Catane en Italie, des cellules tumorales de mammifères on éjecté des photons à des taux aussi élevé que 1400 par centimètre carré par minute – les tissus sains ont en moyenne des taux inférieurs à 40. Dans une étude sur le cancer de la vessie, l’équipe de Kobayashi a constaté que l’intensité lumineuse des cellules tumorales est 4 fois plus élevé que les tissus sains environnants. (…)

Reiner Vogel, un biophysicien à l’Université de Fribourg en Allemagne. “L’émission peut donner une indication très sensible des conditions dans une cellule et sur le fonctionnement du mécanisme de défense cellulaire”, a-t-il dit. Philip Coleridge Smith, un chirurgien à l’University College Medical School à Londres, est d’accord. Vous pourriez peut-être utiliser les biophotons afin d’évaluer l’inflammation dans les tissus, suggère-t-il, ce qui pourrait mettre en garde contre un ulcère de la jambe, par exemple. (…)

Tournez-vous vers la lumière

Pourtant, certains pensent que les biophotons sont bien plus que les signaux de détresse. Au début des années 1990, Guenter Albrecht-Buehler, un biophysicien à la Northwestern University Medical School de Chicago, a découvert que certaines cellules permet de détecter et de répondre à la lumière des autres.
Il a fait brillé de la lumière infrarouge sur un mélange de cellules de bille de latex et des cellules fibroblastes de la souris. La plupart des cellules ont commencé à tendre le bras comme pour « pseudopodia »la lumière diffusée à leur égard par les billes, et bientôt ces cellules se dirigeaient directement vers les billes. Certains ont même tourné à 180° pour les atteindre. (Avec peu de puissance et une longueur d’onde de 850 nanomètres environ, la lumière ne créé pratiquement pas de chaleur, de sorte que les cellules n’ont pas simplement progresser sur la voie de la chaleur, fait valoir Albrecht-Buehler.) Et comme certaines cellules ont atteint les deux sources lumineuses à intensités égale dans le même temps, il semble qu’ils puissent “voir” chaque source distincte, suggère-t-il. (…)

Mais pourquoi vouloir détecter la lumière des cellules ? La réponse la plus évidente est que ils parlent les uns aux autres, dit-Albrecht-Buehler. Les cellules d’embryons pourraient communiquer avec des photons pour qu’ils sachent où et comment ils s’insèrent dans les pays en développement dans le corps.

Et maintenant il veut apprendre leur langue. Il envisage de dire aux cellules ce qu’ils veulent à faire avec des mots qu’ils comprennent. . Vous pourriez dire aux cellules cancéreuses à arrêter la croissance des cellules ou de stimuler la guérison de blessures . “Nous pourrions apprendre à composer nos propres messages dans la langue de cellules pour les obliger à effectuer des tâches spécialisées .”

… Dans les années 1980, Fritz-Albert Popp, chargé de cours à l’Université de Marburg en Allemagne, s’est intéressée au comportement optique des cellules. Dans une série d’expériences Popp a révélé que les deux cellules séparées par une barrière opaque provoque un manque de coordination dans les modes d’échanges et de libération des biophotons. Enlevez la barrière et les cellules vont bientôt commencer la libération des photons en synchronie. . Les cellules, Popp a conclu, communiquent par la lumière.

(…)

Lumière intérieure

Certains franc-tireur théoriciens donnent à penser que la notion d’une langue commune cellulaire avec des biophotons se rapporte non seulement a la communication biologiques , mais aussi à la conscience. Scott Hagan, un physicien théoricien au British Columbia Institute of Technology de Burnaby, a réfléchi sur les énigmes de sensibilisation, car il a partagé un bureau à l’école grad avec un neurophysiologiste. “Dans tous les autres processus, chaque atome ou molécule agit de son propre chef», at-il dit. Toutefois, nous ne pouvons pas expliquer que les cellules du cerveau fonctionne simultanément, comme faisant partie d’un tout. Il n’existe pas de manière classique en physique pour expliquer cela, dit-il. “Mais en physique quantique, il existe des systèmes qui savent qu’ils sont un ensemble. Ceux-ci sont appelés état quantique cohérent.” Ce sont des États où la vague de fonctions d’atomes ou de molécules se mélange pour former une seule unité (New Scientist, 24 Mars 2001, p 42).

Pour résumé succinctement :

  • l’ADN émet plus de photons lorsqu’il est « agressé » ou en état de stress
  • l’ADN pourrait être un signe de l’état de santé dans cette optique
  • l’ADN et les cellules communique de manière holistique par la lumière, elle pourrait être un vecteur d’échange informationnel globale, une forme de conscience propre au corps.
Apportons maintenant la théorie de J.Narby (dont je vous conseil la lecture de son excellent ouvrage : « le serpent cosmique ») :

l’anthropologue Jeremy Narby de l’université de Stanford, portent également notre attention sur la capacité de l’ADN à émettre des photons. La longueur d’onde à laquelle l’ADN émet ces photons correspond exactement à la bande étroite de la lumière visible, de l’infrarouge (900 nano-mètres) à l’ultraviolet (200 nano-mètres). Cette émission a pour particularité d’exhiber un degré étonnement élevé de cohérence, comparable à celle d’un laser. La cohérence dépend de la régularité du débit des photons, et non de son intensité. Une source de lumière cohérente, comme un laser, donne une sensation de couleurs vives, une luminescence ainsi qu’un sentiment de profondeur holographique. J. Narby fait le lien entre ces caractéristiques et les sensations éprouvées lors d’expériences hallucinogènes. Pour lui, les photons émis par l’ADN sont tout simplement perçus par les chamans, aidés en cela par des mixtures hallucinogènes. Il bute néanmoins sur un obstacle de taille, celui qui consiste à faire le lien entre ces visions et la conscience, les connaissances acquises par les expériences des chamans.

Cependant nous avons vu que l’idée d’échange informationnel holistique s’apparente, pour certains, a l’idée d’une « conscience lumineuse ».

Rappelons que l’ADN, ce code génétique, est commun à toute vie sur terre, en cela le serpent cosmique (le caducée des médecins, remémorez-vous l’épopée de Gilgamesh), devient une seul entité (conscience a un autre « niveau d’intégration ») à travers son réseau de communication universel par voie lumineuse…

Et pour finir je vous retranscrit un passage de l’excellent livre « la pierre philosophale : chaos et ordre caché de l’univers » de F. David Peat :




La lumière et la vie

Les formes naturelles exercent une influence subtile et à grande distance. Quand on passe de la structure en réseau d’un cristal ou du ballet des électrons d’un supraconducteur aux oscillations cohérentes du cerveau humain, la distinction entre l’ inanimé et l’ anime commence a s’ estomper. L’hypothèse selon laquelle la lumière elle-même jouerait un rôle clef dans les systèmes vivants s’avère particulièrement captivante.

La lumière a occupé une place de premier plan dans les récits mythiques de la création du monde. Selon la tradition judéo-chrétienne, la lumière fut produite par l’acte de création primordial, et en ce sens, toute chose provient d’elle. La lumière emplit l’univers entier, et il n’est aucune région de l’univers, aussi reculée soit-elle, qui ne soit sillonnée par un treillage complexe de rayonnement électromagnétique. Le bruit de fond que l’ on peut capter avec une antenne parabolique a micro- ondes serait en fait le rayonnement existant au moment de la création de l’univers, du Big-bang. Ce rayonnement qui saturait alors l’univers en formation est omniprésent; l’espace ayant connu une expansion de plusieurs milliards d’années, cette radiation originelle s’est déployée en ondes de plus en plus longues jusqu’à produire ce bruissement capte aujourd’hui par les antennes paraboliques’.

La plus infime région de 1′espace est baignée par un rayonnement électromagnétique s’étendant des plus basses fréquences « résidus du Big-bang » jusqu’aux rayons gamma de très grande énergie, en passant par les ondes radio, la lumière visible et les ondes ultraviolettes. Ce rayonnement provient des étoiles, des supernovæ, des quasars, des champs magnétiques tourbillonnants qui s’étendent a travers les immensités de l’espace vide, et correspond a 1′« horizon d’évènement » des trous noirs. Toute cette lumière véhicule en outre une information sur son origine: réaction nucléaire dans le cœur d’une étoile ou effondrement de la matière en un trou noir. Chaque portion de l’espace est frémissante de rayonnement électromagnétique, et donc saturée d’une invraisemblable quantité de données sur l’univers entier.

La lumière constitue un moyen extrêmement efficace d’encodage et de transmission de l’information. Songeons au nombre astronomique d’appels téléphoniques, de programmes de télévision et de canaux de télécommunications qu’un seul rayon de lumière peut transmettre le long d’un faisceau de fibres optiques. Cette lumière atteint les limites de l’univers, de sorte que la plus infime région de celui-ci contient une quantité d’information qui excède de beaucoup la capacité de mémoire de l’ensemble des plus puissants ordinateurs existants. De fait, chaque fois que l’ on contemple le ciel nocturne, une partie de cette information pénètre dans l’œil et s’imprime dans le cerveau pour produire une image de l’univers des étoiles et des galaxies.

La lumière est information et communication. Mais l’idée nouvelle, très controversée, que la lumière puisse jouer un rôle-clef dans tout système biologique apparait plus remarquable encore. Fritz-Albert Popp explore activement ce domaine a l’Institut de recherches de biophysique cellulaire de Kaiserslautern en Allemagne, en liaison avec le Centre d’ études avancées de l’université Temple de Philadelphie. Quoique ces idées ne fassent pas l’unanimité des physiciens, leurs implications n’en restent pas moins troublantes.

Depuis plusieurs décennies, on suppute que des champs électromagnétiques sont associes aux systèmes vivants. Mais il reste extrêmement difficile de mener a bien les recherches dans ce domaine, puisque pour une expérience réussie et convenablement documentée, bien d’autres ne peuvent être reproduites. Un certain nombre de chercheurs se sont néanmoins penches sur cet hypothétique rayonnement biologique et ont suggère que la molécule d’ADN émettait des photons, particules quantiques de la lumière.

L’ADN est la molécule-clef du noyau cellulaire, et il apparait maintenant que cette molécule pourrait effectivement émettre un rayonnement de très faible intensité quelques photons a la fois. Les chercheurs qui ont étudie la nature de ce rayonnement l’estiment cohérent”comme la lumière du laser, mais incomparablement plus faible.. Une molécule biologique, 1′ADN, semble donc agir comme un laser et produire des oscillations collectives dans un champ électromagnétique.

Si cette découverte se trouvait confirmée, on devrait alors se demander pourquoi il en est ainsi. La nature ne fait généralement rien sans raison. Pourquoi la molécule essentielle de la vie émettrait-elle une forme de lumière laser très faible ? Dans quel but ?

La nécessité de communiquer vient immédiatement l’ esprit. C’est la, il est vrai, une simple conjecture, mais des chercheurs comme Popp lui attachent beaucoup d’importance. Supposons que I’ADN se serve d’un rayonnement électromagnétique, d’une lumière cohérente, pour communiquer a l’intérieur de la cellule. La lumière possède la faculté de traverser la cellule et convient parfaitement a la transmission de l’ information. Se pourrait-il que la cellule utilise un système de communication a deux niveaux”le plus lent via les processus moléculaires ordinaires qui se déroulent autour de la molécule d’ADN, et un autre, incomparablement plus rapide, a travers l’ensemble de la cellule, via la lumière cohérente ?

Les scientifiques étudient également le rayonnement cohérent émis par la cellule. L’idée est que l’organisme entier baignerait dans un champ électromagnétique oscillant, « vivant ». il pourrait se faire, par exemple, que la lumière cohérente soit utilisée comme moyen de communication dans l’ensemble de la plante ou de l’animal entre 1′ADN et la cellule, entre les cellules et entre les organes. L’organisme entier pourrait ainsi consister en un flot complexe d’information dans lequel chaque cellule et chaque organe réagissent a un flux de messages électromagnétiques ininterrompu.

L’organisme vivant serait un système de communications complexe ou la lumière cohérente lierait toutes les activités métaboliques et de transformation. La cohérence même de la lumière agirait alors pour préserver une cohérence d’un ordre supérieur : celle d’un organisme vivant en perpétuel changement. En ce sens, la lumière représente une information active, globale et efficace, qui se répand a travers toute la cellule – en réalité, à travers l’organisme entier et coordonne ses actions.

Peut-être même les animaux communiqueraient-ils entre eux grâce a un rayonnement électromagnétique, comme le font les cellules du corps. On peut aussi se demander si l’information, sous forme d’une danse cohérente de champs lumineux, ne serait pas l’essence de toute vie et le moyen utilise par les systèmes vivants complexes pour se coordonner.

A ce stade de notre expose, certains lecteurs seront peut-être déroutés, car l’ idée d’ un flux complexe de rayonnement électromagnétique qui gouvernerait les activités d’un organisme commence a avoir des relents de « force vitale ». L’idée d’un tel champ d’information rappelle l’élan vital, l’aura d’énergie qui entoure l’organisme et indique son état de santé. C’est bien en effet ce qu’affirment quelques chercheurs”le rayonnement émis par des cellules saines est. d’après eux, tout a fait différent de celui des cellules malades ou en train de mourir.

La santé consisterait-elle en un flux d’ information actif à l’intérieur du corps, et la maladie en une rupture de ce flux, un appauvrissement de l’ information ? Le flux sans cesse changeant d’ information véhiculée par les champs électromagnétiques et l’entremêlement complexe d’une grande variété de réactions chimiques sont vraisemblablement si subtils que leur complexité même risque fort d’apparaitre chaotique a un observateur extérieur. Lorsque la maladie survient, la cohérence générale de ces champs d’information commence a se déliter au point que seuls les processus individuels subsistent. Ceci expliquerait pourquoi des chercheurs ont découvert que ce qui peut apparaitre, dans le cœur ou le cerveau, comme un comportement désordonné est signe de santé, tandis que, par exemple, un battement cardiaque régulier et simple laisse présager une crise cardiaque.

Un océan d’informations

L’ idée que des champs extrêmement complexes d’information coopérative entretiennent les systèmes vivants pourrait non seulement s’appliquer aux organismes vivants, mais aussi aux écosystèmes, aux sociétés, voire a la planète tout entière. La vie ne cesse de se transformer et d’explorer de nouvelles voies, tandis que les oscillations simples caractérisent plutôt les machines et la matière morte. La stabilité dans sa forme la plus simple est en elle-même synonyme de mort, alors que la vitalité tient a la capacité de supporter un ensemble complexe et subtil de fluctuations globales. Un canevas toujours fluctuant, changeant, de significations devient la vie elle-même, et la frontière entre anime et inanimé commence a s’estomper.

Le domaine de la bioinformation électromagnétique est dans l’ensemble sujet a controverse, mais il suscite des recherches intéressantes et soulève des questions importantes. Un organisme peut-il, par exemple, collecter et intégrer une information électromagnétique sur son milieu ? Si tel est le cas, il convient alors d’ajouter un sens électromagnétique a la vue, a l’ouïe, au toucher, au gout et a l’odorat. Il y a déjà tout lieu de croire que beaucoup d’animaux utilisent des détecteurs électromagnétiques pour se diriger.

La surface de la Terre est animée par de multiples signaux électromagnétiques. Hormis le champ magnétique terrestre, le rayonnement solaire baigne la planète et sa haute atmosphère. Le champ électromagnétique de la Terre entière vibre par ailleurs a une fréquence de sept a huit oscillations par seconde. Les effets des ondes de l’ionosphère et de la magnétosphère sont également perceptibles a la surface du globe. En réalité, la Terre entière se présente comme un océan complexe de rayonnement dont l’intensité et la forme varient très légèrement d’un endroit a l’autre, du fait que l’information encodée en un lieu donné dépend de la composition chimique des roches avoisinantes, des minéraux, des eaux souterraines et de surface. La forme de ce rayonnement subit en outre les variations climatiques quotidiennes.

Sur chaque parcelle de la surface terrestre se trouve donc encodé un stock important d’informations électromagnétiques, non seulement sur l’état de la planète tout entière, mais aussi les particularités de la zone concernée . Ainsi , lorsqu’un oiseau fend les airs, qu’un animal se déplace a la surface de la Terre ou qu’un poisson évolue dans l’océan, il se pourrait qu’i1 collecte et réagisse a une masse d’informations incomparablement plus complexe que celle contenue dans un signal radar ou une émission de radio. Peut-être capte-t-il aussi les signaux et modulations électromagnétiques a peine perceptibles émis par sa proie ou l’un des siens. Il est fort possible qu’une partie de cet énorme stock de données soit décodée par l’ animal, afin de recevoir sans interruption l’information directe relative a son milieu.

Mais l’information électromagnétique ne représente qu’une des possibilités. Le son véhicule aussi sa propre masse d’informations. Cette mer sonore permet aux petits mammifères d’obtenir une image détaillée de toutes les formes fugitives de vie et de mouvement qui se manifestent dans leur environnement immédiat. L’animal réagit non seulement a ce qu’il « entend » avec ses oreilles, mais peut-être aussi aux vibrations a haute et basse fréquence perçues au niveau cellulaire, qui font osciller l’organisme entier par résonance. L’animal est conscient de ce que les sons qu’il émet lui reviennent après avoir été transformes par le milieu. Il déchiffre sans relâche la symphonie complexe de chants d’oiseaux, de bruits produits par les insectes et de cris des autres animaux. Pour les baleines et les dauphins, cette matrice d’information a caractère vibratoire s’étend a travers l’ océan sur plusieurs centaines de kilomètres. A cela vient s’ajouter un flot d’odeurs, qui procure au chien, par exemple, une représentation nette du monde extérieur. Chaque être vivant se trouve immerge dans un océan d’ information à plusieurs niveaux, d’une grande richesse et subtilité.

L’ADN : Molécule attentive

Si l’ADN se charge d’envoyer des photons cohérents dans la cellule, peut-être est-il aussi possible que ce rayonnement soit modifie et renvoyé par l’environnement, ou cette même molécule le détecte. Se peut-il que l’ADN soit « a l’écoute » de son milieu ?

La molécule d’ADN forme un important réservoir d’ information ; l’histoire des ancêtres de la cellule et de son évolution s’y trouve consignée. Cette information s’exprime par la gestion de la synthèse, dans l’ordre requis, des diverses protéines qui, selon leur nature, participent au développement, au métabolisme ordinaire ou a l’ entretien de l’organisme. C’est pourquoi on dépeint souvent 1′ADN comme un chef d’orchestre, le principe agissant au sommet de la hiérarchie.

Mais cette vision d’ un flux d’ instructions a sens unique soulève des difficultés. Comment précisément l’information correcte est-elle sélectionnée au bon moment ? Si la cellule fabrique telle protéine trop tard ou trop tôt, elle perturbera l’ensemble de son métabolisme. Il apparait en outre qu’un très faible pourcentage de l’information emmagasinée dans l’ADN est utilise. A quoi sert le reste, ces régions silencieuses de l’ADN ? Contiennent-elles simplement l’information obsolète et des messages de formes issus d’un lointain passe évolutif de la cellule ? Ou bien posséderaient-elles une fonction potentielle utile ?

Supposons que l’ADN puisse effectivement être a l’écoute du monde qui l’entoure et y réagir. Supposons également que la cellule soit gouvernée sur un mode démocratique et que l’ADN fasse plutôt figure de guide vénérable et vénéré que de dictateur. L’ADN serait comme une bibliothèque géante pleine de traités sur le métabolisme et la synthèse des protéines. Et, comme pour le choix d’un ouvrage, la sélection de l’information dépendrait d’un contexte plus large: la cellule entière, l’organisme dont elle fait partie, voire le milieu extérieur.

La danse électromagnétique au sein de la cellule véhicule les données sur les conditions toujours changeantes qui règnent dans le monde extérieur et pourrait jouer un rôle dans le choix de l’information fournie par l’ADN. Le code génétique participerait ainsi d’un langage beaucoup plus général, celui tenu par l’ organisme entier et même par l’ environnement lointain. La molécule d’ADN elle-même recevrait constamment des informations sur son milieu et pourrait, de son côte, faire appel a une partie de son « information cachée ». Il est même concevable que la cellule entière agisse avec intelligence et modifie son ADN. En d’autres termes, une mutation de l’organisme constituerait la réaction concertée a un changement d’ensemble du milieu ou vit la cellule, et non un événement purement aléatoire et sans but. L’évolution prendrait alors la forme d’un processus participatif, le résultat d’un constant dialogue entre les êtres vivants et l’ensemble de leur milieu.

L’idée que la vie consisterait en un savant ballet de significations et d’ informations nous entraine a d’ autres conjectures. L’une, absurde de prime abord et pourtant sérieusement envisagée, est que la nourriture contiendrait non seulement des éléments nutritifs, mais aussi de l’ information ! Quand un prédateur se jette sur sa proie, affirme cette théorie, il ne cherche pas uniquement a se procurer des protéines, mais aussi a se renseigner; en la mangeant, il ingère un ensemble complexe de données . L’ information se transmettrait ainsi entre espèces.

Bien que cette idée paraisse assez étrange, elle est proche de celle a laquelle adhérent les peuples indigènes: ils estiment que les aliments nourrissent la personne entière, et pas seulement le corps. Pour les populations de chasseurs d’Amérique du Nord, manger du caribou et du bison constitue une « bonne médecine », et chacun se plaît a manger de la viande, car son effet bénéfique ne se borne pas a fournir au corps son énergie. Selon cette conception, les aliments nourrissent l’individu sur plusieurs plans, de sorte que certains, par ailleurs sources abondantes de protéines, passent pour de « mauvaises médecines ». De même, les chamans chinois se servent d’os de mouton ou de chèvre comme moyen de divination. L’animal ne consomme que de l’herbe et de l’eau pures, affirment-ils, et l’« universel » imprègne donc l’os au point que celui-ci est a même d’entendre et de voir.

Se pourrait-il que 1′« universel » de la tradition chinoise fût une information active et eut une signification globale ? La trame de la vie, la danse du prédateur et de sa proie, serait-elle l’orchestration générale d’une information en perpétuel changement ? Et l’évolution ne constituerait-elle pas le. mouvement de cette symphonie de la signification ? De fait, si l’on voit dans l’organisme la manifestation d’une cohérence et d’une information, l’histoire et l’organisation de la vie sur Terre doivent être envisagées de même. Les synchronicités deviennent alors un simple aspect de ce grandiose ballet de structures chargées de signification.

En attribuant a l’information un rôle-clef, on voit la division entre le vivant et l’inanimé s’évanouir. On prend conscience du fait qu’on ne peut en aucun cas réduire entièrement un système cohérent a des constituants en interaction, car ceux-ci participent a une danse collective qui représente l’essence véritable de ce niveau d’être particulier.

Retour sur le concept de corps de lumière.


A la lumière (  ) de ces révélations, je pense que nous avons des éléments de réflexion nous permettant d’avancer sur ce point.

Il semble donc établi que la lumière émise par l’ADN est vecteur d’information, une forme vibratoire issu de la matière vivante. L’ADN communique avec son environnement par cette lumière et interagit par l’échange d’information. Tout le vivant est lui-même baigné dans un flot permanent de rayonnement électromagnétique.

La conscience individuel des entités vivantes sur terre (à défaut d’autres exemples), réagit et interagit par ce biais. Notons la « pulsation » électromagnétique de la terre (voir résonance Schumann) et la fréquence des ondes alpha du cerveau présentes dans le rêve et dans la méditation légère quand les yeux sont fermés. Les ondes alpha pulsent à travers tout le cortex cérébral.

D’autre part, la notion de synchronisme établi par Jung, un état psychologique et un événement physique liés, non pas par la cause mais par le sens (ce que nous nommons communément un « signe » ou plus vulgairement le « hasard »), supplante la barrière de causalité rationnelle établie. Ce qui nous montre la réalité d’une communication a un « niveau supérieur d’intégration » (voir également les travaux de Ruppert Sheldrake).

Rappelons-nous que les « sages » sont représenté par ce halos lumineux les entourant, ne dit on pas que ce sont des « éclairés » ? Notons alors que les traditions nous enseigne qu’il nous faut développer notre « 3ème œil » pour visualisé (et non pas voir), ces réalités (auras).

Note : Le 3ème œil est un des 7 chakras – ces centres énergétiques – que notre corps subtile possède. L’occident a fini par constaté une certaine validité de ces théories, par relation de fait avec les glandes du corps ( ici la glande pituitaire ou hypophyse ).

Pouvons-nous en déduire qu’une conscience éclairée, ayant fait l’expérience de l’Agapès, ayant « vécu », dans l’extase mystique, la réalité de l’interdépendance des phénomènes, puissent alors fondre sa conscience individuel en une réalité supérieure, celle de la lumière ? (Ne dit-on pas « Dieu est lumière » ?)

Ce corps lumineux serait alors l’expression physique d’une élévation spirituelle telle que la conscience unicitaire de l’être se révèlerai dans toute les cellules de son corps…


Remarques et Synthèse


Il se trouve que ces deux phénomènes (la biophotonique et l’effet Kirlian) ne sont pour ainsi dire jamais mis en relation, pourtant il s’agit dans les deux cas de rayonnements électromagnétique émis par les etres vivants. Leurs taux vibratoires ne se situant pas dans les mêmes gammes, nous pouvons en distinguer deux types ou, deux corps. Ces réalités sont donc ici unifiées…


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